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samedi 20 février 2016

Fictionnaire langoureux de François Midrand


Locus Solus du Magnus Cantor Formularum
The Great Solutrean Gatsby
des chemins de Pouilly qui mènent à Rome

"Les gens qui se prédestinèrent à m'entourer eurent toujours un rapport métamorphique avec les différentes grammaires de moi-même, strates de pierres angulaires d'une fidélité qui se jointoya toute seule, probe principe cathédral qui s'entretint sans mal. Amour à mort du tour du propriétaire des calcins de l'ivoire de soi dans les couloirs à spirales de l'usure du non-mouvoir. Bélier métamorphe plus fort que louve métaphore. Alors que je surpris un jour les sources soufrées de moi-même et le pur ruisseau de mon moi s'entregloser, je fusionnais leurs potentialités harmoniques de voisinage afin que le manteau de mes roches les plus quintessenciées fondît sur la nue langue de terre recouvrant de son fermage la surface de mon âme comme fleur de sel à la lumière du feutre humide de mes humeurs boréales. Soie des pôles de mon for déchirée, la barrière entre l'intime et le solennel n'avait chez moi plus guère cours, la garde féale de mes anticorps et antigènes était toujours montante et ménageait qu'elle fût à tout jamais, comme le brome érigé des vierges pelouses de Solutré, vers le ciel dressée. Je veillais aux préparatifs d'une douce hémostase lorsque les deux laves du roi se mettaient en demeure de quitter le sillon moïste, mêmement absolutiste et égalitaire célestement à moi-même Vulcain, que je viens de vous teindre, pour vaguer hors d'une nature qui se contemplait avec amusement transgressée. J'adorais observer du plus haut de mon esprit l'exercice de Curia Regis de mon moi en son conseil. Car depuis l'enfance je vainquais la mort, la rose de mon interne évent avait la texture d'un autre pétale de souffle que celui de la fleur de culture Tudor. De ce cher et vieux pays, dévoyé dans les liens d'une consomption sucrée lâchement lacée autour de ses poignets que léchaient les hyènes, glissé entre les papiers crevassés par les mites de l'oubliothèque de la théogonie gaullienne, rabougri à force de s'alanguir des émois de mes surmois oulipiens continûment pris dans les calcaires politiques de l'accablement conchylien, précontraint à devenir socle mien, je dévorais chaque jour à l'arrêt de mon cerveau les verstes et lieues des steppes désertes mentales, sans connaître le manque de repos ni laisser venir infécond le sommeil. Je pris l'habitude d'aller m'enterrer quelquefois vivant dans les sables égyptiens d'une sobre mambre. Pour dissiper l'ennui de rentrer en France j'allais déposer les urnes de mes opposants de faïence, encalminés à Calais puis réduits en cendres, dans un mausolée cairote de style messidor. Je me gouvernais sans efforts, têtes et membre, au fil de l'eau des injures et des offenses comme sur la nef d'un unique happy-few désireux d'examiner depuis un tendre surplomb le travail des vibrations de son moi dans les remous des hélices de son caverneux royaume flottant entre deux imperceptibles transes.
Mes pauvres refont parler de moi, sortent leurs dictionnaires indexés sur mes vieux œufs qu'ils calibrent et repeignent à façon pour conjurer les inertes Pâques qui jamais ne leur ouvrirent passage ni ne les conduisirent vraiment jusqu'à moi. Quoi de mieux qu'un blog inconnu, connu pour la béance de ses ports, où déposer sa marchandise (comme d'autres, ni revus ni reconnus, s'y ravitaillent), s'inviter insérer le serial bus de sa petite clé, rétablir la fiction dans son bon droit et faire marler la splendeur solutréenne du champ de paroles de son incorruptible mort."
A comme Éduens.
Je me suis toujours laissé porter par le vent d'Autun. N'ai jamais reconnu l'anti-césarisme du soldat Charlus, grand par la taille, grandi par défaut dans les limbes de la Gaule des brumes du nord. Même au cœur des hivers extrêmes et sans lunes, copieux en querelles et caresses dans les luttes et les ententes des grégoriennes épactes, qu'eut à subir notre contrée, je conservais les amulettes précieuses que mon père m'avait données au collège de Bibracte. Jusque dans les affres du mauvais sort, que j'accueillis souvent avec une malice dissimulée, je concentrais mon moi suffisamment naissant sur Lucain. Je rejouais des blonds rutènes les actes, aux confins des fleuves je rejoignais pour m'y baigner les rives riches que tenaient les familles de l'élite de la portoria de l'Isle-sur-Serein. Déjà sous le moi de ma trame solifuge perçait vainqueresse la coque de mon âme à l'ombre de mon corps.
B comme Armorique.
Je n'ai jamais supporté la tranquillité d'âme de la Bretagne géophysique. Pour la rose des sables du Lorient de mon moi, sa péninsule fut toujours par trop accidentellement occidentale jusqu'à l'impudique.
Sans cette pointe encore chaude et fulminante, résultat des amours de volcans étrangement obscènes qui semèrent les enfants de granite dans des proportions immodestes, mon pays, devenu pentagone par la nouvelle amorce des choses, aurait mieux subverti les invasions vikings rémanentes, les razzias des pirates anglo-saxons, mes prédécesseurs, faunes errant sans couronnes, se seraient facilement sortis des émois ducaux et des épreuves conséquentes qu'ils imposaient à la naturelle faiblesse de leur voix comme si elles n'étaient que les restes de maléfiques éclats d'immanentes et intraitables causes.
La géographie simplifiée, tendue depuis l'arc picaro-normand jusqu'aux aires de mollesse des plages du rembarquement d'Aquitaine vers l'intérieur des serres, était l'idéal d'un tremplin vers un profond de verre dont nous atteignîmes rarement la plinthe lointaine. Le Cotentin redressé tel un moaï pascuan dans le blanc matin d'un lit de drap de lin isabelle devenait tour de contrôle, nos côtes festonnées par l'usure que l'on tirait de l'exploitation des homards, bleus comme des voiles de Klein, auraient applaudi le retour des maigres et humbles cortèges de nos inglorieux colons du déclin de la France au Nouveau-Monde et assuré l'anorexie à la table de l'appétit d'un audacieux chant du départ. Montoire et Blois, ports en eaux profondes, permettaient le succès des bons procédés des blocus du passé communs aux promesses de remparts que remplirait le futur, le tracé des TGV s'offrait zénithale coulure depuis cette source et rendait de la rondeur à de nouvelles Maginot. Une fois pour toutes Bordeaux, et sa forme d'une île pseudo-namnète, se voyait élue à la charge de représentation capitale, sans l'ankylose du tractus armoricain à la Venise venète toujours fatale aux liaisons romaines. Et le pays de se passer du recours aux grands hommes à cimeterres sous les satellites subliminaux. Je déraisonne, j'aurais aimé révérer les Bretons depuis l'enfance et les peuples riverains de la Manche en général.
Q comme la geste de la femme questionnante.
G comme la queste des points fixes de la géante. 
M comme Midrand.
Il est d'usage de rapporter que les ligueurs moites du drame d'extrême droite cherchèrent depuis la nuit de mes temps terriens, étrangleurs aux bavardes mains déformées par un goitre, le point de marcottage à mon nom pour en brûler la racine de la prononciation. C'est un fait qu'il arrive qu'on m'appelle "Midderrande" au grand sud des toits du moi de ma France lors d'émouvantes torsions douces qui fusent sans chichi dans la pronation d'un geyser de voyelles généreusement pharyngales. Alain Savary, en bon provincial (à jamais seul authentique héros de mes gouvernements du moi, mon épine d'Alger se devant de l'admettre), ne se gêna pas pour abandonner la nasale et recueillir dans sa bouche le déluge des quatre syllabes sous cette Flak consonantique jusqu'en 1981, date à laquelle les deux syllabes devinrent un standard, la marque déposée du sonal vibrant d'un timbre mort aux charivaris, un contrôle d'appellation, un terroir sonore, un nouveau sel de sons de Guérande. Un mandarinal écho radar. Pas exclusivement du côté de la clarté du Milde, quelquefois ein strenger Name qui estourbille et dérange par l'étrange parfum de l'absence même de Sturm et de Drang que pourtant ses lettres quémandent. Selfie d'argentique aloi, Midrand trahit dès l'origine le rythme du muid, mariage de la distribution des retentissants liquides, vin, soupirs, eau, lait, lymphe, sang, larmes à tous leurs stocks, et du partage des lourds ballots aux jutes assourdies, de riz, de cris, de chaux, de coke, de feutre de bruit, etc. Le traîneau d'un nome, cartouche d'un très ancien dynaste des siècles fastes, secrète médecine, baume caché de mes vastes carcinomes. Mon Rosemoi. Depuis des générations les muids sont notre milieu, midrash des semences du nord et des récoltes du midi dans l'infini de leurs coutures. Faut-il s'excuser de connaître mieux encore aujourd'hui Rachi et Pierre Barouh que ce monsieur Rahbi ?


(Suite à divers moments de l'année 2016 où je listerai le sexe, l'amour, l'argent, le désargent, l'honneur, le déshonneur, la politique, les amis, les amers, l'umor rédimeur, le mépris, ma comédie, leurs tragédies. Personne ne revient jamais relire un article déjà publié me dit le gars du blog invitant. Tant mieux mon jeune omis, vais-je lui répondre.)




Le temps de la pose greffée

jeudi 13 août 2015

Reprise du travail, naissance et usinage de Jocelyne in Wonderhell

415_ Les deux Men in black,
permanents
à la CGT,
semblent un peu patraques,
les manants
qu'ils encadrent sont aussi
des femmes
qu'ils ne pourront un jour plus rejeter


Si vous vous faites voler par mer et par terre
c'est la faute à Wonder,
si vous bombez la poitrine de fatigue vers la grève comme une petite oiselle
sur son schooner,
c'est la faute à Raymond Roussel,
impressions de fric volant depuis les branches à billets impalpables d'une parcelle
des arbres plantés dans la salle blanche et propre où s'exercent aujourd'hui les fondeurs
à l'art difficile de produire toute une écologie de semi-conducteurs,
vous, vous voulez juste reconduire les antiques vecteurs d'onde à la maison comme on descelle
un acte du doigt, dans le galop d'un gap-direct, en faisant sauter la cire du cachet pour ensuite brûler la lettre par simple imposition de votre main, au plus près de l'exhalaison de sa chaleur.
Si vous êtes encore locataire, c'est la faute à Wonder,
Hervé Le Roux vous rêve habitante des Beaux Bas-fonds
alors que vous désirez en secret depuis quelque temps faire des Hauts-Quartiers votre résidence,
vous n'êtes pas prête d'y émigrer,
vous retournez vous en remettre à votre pêcher,
derrière les feuilles qui cachent le bruit des moteurs Diesel
et masquent les fumées bleues échappées
de la libre détente des scooters
que vous laissez à leur stridence.
Vous ne prenez pas garde à la sollicitude des cinéastes de rues,
votre île de solitude pondère ce qu'ils voudraient du grand Mai toujours voir à l'œuvre chez les ex-Wonder,
d'un simple coup de manivelle : que le pavé des débuts de l'été d'hier
soit toujours vers l'Arche arrière du temple de leur jeunesse parcouru.
Les cils sur le blanc des yeux injectés du rouge sang de leur passé ne s'épilent et ne s'enserrent
que si l'on use de sangsues.
Avec un peu de chance vous seriez l'espoir d'une fille qu'aurait eue Bérénice d'Aurélien,
l'improbable fruit des amours du fulgore Nadja d'avec son correspondant mâle écrivain,
les mages romanciers et poètes cinéphiles meublent à leur bas-ventre les oeufs vides de projets qu'ils souhaitent au plus vite découvrir pansus,
le désespoir ne s'use que si de l'usurer l'on se souvient.
Je ne pense pas que Willemont, Bonneau & Le Roux vous imaginent telle une Nozière,
voilée à l'eau de violette, aspergée comme une Asperger possédée, par son père,
-- les jeunes cinéastes de rue n'aiment pas qu'on fabule --,
encore moins enfant de Pierre Bost et d'une secrétaire,
cela vous casserait en mille morceaux, statuette tombée du ciel écorché bleu comme d'Aurenche.
Le fond des ors révolutionnaires est frais, il n'est plus temps pour les conciliabules,
ils restent prêts à vous faire un pont d'air
mémoriel doré sur plume, laqué sur tranche.
Où sont les vils Valmont, les Cécile de Volanges,
peut-être êtes-vous du calibre de la Laura de Preminger,
une malhabile Catherine Crachat de la classe ouvrière ?
Crachez-leur le noyau du péché, qu'il revienne lustrer de sa salive de varan, suceur de pulpe de chérubins ou d'anges,
le triple vitrage à leur fenêtre, encastré comme l'éclat d'un projectile homicide digne d'une fiction documentaire.
Le Révérend Daney et l'abbé Rivette respiraient déjà l'odeur de sainteté
qui s'attachait à vos invisibles traces,
premiers hommes de la nouvelle église qui parlèrent de miraculeux moment,
de transfiguration, magiques fracassements du réel ignorant,
purgateurs de crasse.
Ils se demandent si, comme l'aumônier des calembours préposé à la critique ciné du journal Libé,
vous aimeriez coucher avec Delon,
si vous avez lu Beauvoir et Frank Herbert, si vous aviez sur les dunes des faubourgs dans l'au-delà de la banlieue les aux revoirs félons.
Ils voudraient faire de vous l'égérie d'un parfum,
mais de celui d'une mémoire publicitaire inodore,
sans autres saveurs que celles des jus de vos draps blancs, indolores lorsqu'on presse leur fantôme noyé à ses propres coutures de confins
au sortir du lit d'une rivière de diamants cabochons.
Il sentent aussi l'odeur de poudre dont vous sableriez
peut-être le halo de carbone qu'ils vous ont mis derrière la tête,
car vous auriez tout à fait l'étoffe d'une Shigenobu, d'une anarchiste autonome,
d'une pensionnaire de l'action directe, qui sait ?
Vous ne pouvez pas qu'aimer saluer les copains, faire la fête,
jouer les esthètes impromptues dans des rallyes,
bousculer les deux dos
de la bête
invitée pour rire lors de fabuleux monômes.
Vous, vous ne pensez qu'à vous dépoudrer le museau
des grains d'agar-agar, d'effacer le gel
des bromes
et des cendres de varechs,
il vous faut un quart d'heure à la sortie du boulot
pour reprendre vos esprits,
vous rappeler le nom qu'à vos moeurs ils approprient.
Le temps de vous laver la peau
des chromates de potassium,
ces fonds de teint farines d'actrices néogrecques,
vous n'en avez rien à paître de leur social holisme,
ils ont deviné chez vous un côté câline
que vous, c'est vrai, traitez à la racine comme on ramone un alcoolisme,
le manganèse est un cadmium pour le manganèse des piles alcalines.
Vous aimiez les Triumph Spitfire, pommes d'Avalon vertes
comme les BB michelines sans wagons d'Alsthom,
et les autobus parisiens aux antiques plateformes
pleines de pitié chagrine,
les Mini Cooper des lendemains vous tiennent alerte.
Vous n'aviez pas la constitution pour ouvrir une épicerie,
loupiote-tempête sur la plate Leclanché du Millevaches,
l'écoute à la radio de l'annuaire télépathique, bottin des bons et des vilains, lu alors que crépitent les signes de l'avènement du Philosophe Qui Vient,
vous laisse de marbre dans l'atelier de visserie
des piles boutons.
D'autres avaient essayé de vous faire dire des choses qui fâchent
sur l'horreur de votre situation,
celle qui vous fait "écoper, pour le patronat de Saint-Ouen, les copeaux de zinc dans les WonderKommandos",
certains braillards ne reculent devant rien
pour diffamer leurs prétendus ennemis.
Estelle Courtecuisse n'est plus dans la place,
Mademoiselle Marguerite fend à la hache
de son sourire disparu les tracasseries de la Mère Machin.
Deux douches installées et une pause-toilettes,
avant que la marque, nue comme la SAFT, ne s'efface.
Personne ne voulut trop voir combien la force de votre langue
était pesée, (vous n'avez jamais prononcé le mot foutre)
votre grossièreté était à chaque pas retenue et sobrement chronique,
vous aviez pourtant le gosier pentu dans la harangue.
C'est cette balance à tiroirs que je regarde dans les souvenirs de glace
m'attirer au miroir de votre visage briseur de vacarme.
Jocelyne viendrait d'Yngvi,
intermédiaire de Freya,
les cinéastes des rues décrépites sont des limaces.
Ils cherchent traces des solvants protiques
des filles du peuple qui fuient les suicides de masse
dans les parchemins de l'urbaine Edda
en semant les micrograins de halite,
indétectables à la lampe Mazda,
même pour Snorri,
de leurs insolvables larmes,
jusqu'aux puits des Harijans Dalits. 
Elle ouvre aux pôles des mots l'espace entre les cosses,
passe sous les ponts salins néons de Paris,
comme un fleuve à la faible lumière d'Ecosse.

Adieu

mercredi 12 août 2015

Jocelyne in wonderhell ("Wild Horses" des Rolling Stones)


414_ The Lady Who Ponders the May Wonders
Vous Jocelyne 
Tressaille l'oud, levé grésil, musiques des erres, à la Cour bientôt très doux
Les cygnes déventés abonderont sur l'aile de l'été, rejoueront vie
De leur baptême pour vous
La grâce vous laisse dire aux autres le noir que vous avez à l'âme,
Vénaux sont les chants de ceux qui s'allient
Les semailles charbon des gens que l'amour affame
Que vaille l'exorcisme, qu'il condamne le dragon à l'errance
Des mille voies,
Vade, vade orgie des Assises de la mauvaise foi
Jouer d'oreille son va-tout pour ce faire, mandibule
Bloquée pour un quignon de pain,
À votre anneau vous décidez de l'idée qui somme à son tour les bulles
De leurs esprits par votre âme ceints
Nos épis existent hors la récolte otage ou orpheline
Des coups de maîtres, cent mille fils batteurs des traits à tisser les anciennes crinolines,
Voile d'or sise aux mâts des curraghs de Galway,
Toile, moelle oursine de l'orage, gueule béante avouée
Les jeunots établis, hâves dans le drôle de drame,
Doutent d'eux-mêmes à l'usine,
Et dans les ateliers mandolines déraillent,
Fiers esclaves de leurs dogmes, ils rêvent à mi-temps
Puis constatent qu'un Grenelle les mystifie, pire, les taille,
Corvéables par Louvre et Bercy, batteries sans rustines,
Jetons-les aptères dans le sommeil, brame
Livide brome d'atonie, habitant
Les Afters des filles et fils de notables bien élus nés endoloris d'un faux-travail
Wild, wild horses, les villes
sont des radeaux qui portent la somme 
des hommes 
qu'elles poulinent aujourd'hui mais adoubaient 
jadis jusqu'aux infertiles
semencines du cap sableux des baies