"Et la libération de Paris ?", lui rétorquèrent ses interlocuteurs délicieusement parigini. __Je ne sais pas, je ne saurais parler de choses que je ne connais pas, je n'en ai en tout cas, pas vu toutes les forze, répondit le grand italien amoureux de la France et des Français de la "race de 14."
Assez loin, loin, très loin d'une mégalomanie que l'on aime à déclarer coutumière chez lui, Malaparte dans son "Diario di uno straniero a Parigi" (publié en 1967 et republié aujourd'hui), se délivre de l'art de l'aparté parisien et ose découvrir une âme de varsovien cachée dans les replis souterrains que requièrent les chemins des plus petites ruelles de la vieille comme de la nouvelle miasto de son esprit étrangement cartésien.