lundi 27 mars 2017

Mon Seul Bleuir



To Ematchka 
À la Licorne, Dame Unicorn flashing fair in the perspective cavalière of the night what immobile engine or ivoried watch hands of an unknow gynaeceum's frame could fathom thy fruitful bone and skin scintigraphy, far, far away from the sterile pseudo-representations of the typical monocorné, single-horned, beau today ?

Ballets à cheval des contours complets de l'amour circulaire.
Contrabasso dans l'éros inconnu
Symphonie des ondes équines émanées des Thérémines nus
Tu chasses les images spectrales des fausses licornes aux valves marginaires
De nos cœurs
Dont le libre-arbitre, qui tressaille, n'a pas d'odeur
Il faut manger le lion dis-tu, de nos savanes intérieures le codétenu,
Pour faire un Homme selon la Gnose de Thomas, détenteur d'une Licorne estelaire,
Depuis l'entrée des grottes pariétales, par l'étui vestibulaire,
Jusqu'à nos Barren des coraux fossiles sacrés, terrain de crinoïdes, d'oursins et d'ammonites, par les villages Corofin, l'infini d'un paradis dont nous ne sommes jamais sortis, inclus le prince Potemkine, ni n'avons lu tous les confins, pesé les contenus

Ce n'est pas à la Terre du vieux John M. Synge que l'on apprit à faire de la biomasse. Communion d'essence. C'est ce que tu me fis saisir, tu montrais que les plus sévèrement sensibles des écrivains, les plus hardiment insensibles d'entre-eux, avaient souvent une panthère, mystère des mystères, qui croisait, battait le pavé des seigles bannis, aux bords extrêmes de leur page, aux franges des déserts de leur papier, aux frontières inexplorées de leurs rochers, minéraux imprimés regorgeant de puits, d'où sourdent des suies dont ils encrent leur feuillet, avec cette légendaire poignée de sourires carnaires, comme le masque d'une tension d'arc mongol à leur visage, étrangement qui accepte de faire office d'armure et de bouclier, empêchant, penchés sur les sables de vieille fusion d'une arène devenue leur table de travail, qu'ils s'auto-dévorent.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire