J'ai toujours cru à ta néo-Apocalyptik, Rimbaud.
À la poursuite du surmarin des aubes de clémence, Rosh à Gholas dans la démence des Aurores qui furent les tiennes, rôdeur Octobre que tu ne laissas pas couché sur le flanc comme un drôlet de Podvodnayia lodka russe faussement très piteux sur sa roche aux doigts de mauve visqueux gantés d'algues suédines trop hyperréalistes pour être honnêtes, tu étais prêt à ne pas donner comme ça ta part de First Blood aux anges. On ne t'y recranterait plus, faillirait le monde des ombres, jamais plus tu ne serrerais ses gloses dans les ossuaires de l'Erutarettil, écran de fama spécialement propitié aux seules fins glorieuses de la rétention du sang plasma de ses lauréats surnaturalistes hantant (si tu savais, hombre, comme ce mot est devenu le passeport des rinceurs de commentaires du Nebel aujourd'hui, jusqu'à paradoxalement réussir à napalmiser le très sensible biotope de fantômes qui doivent supporter, tombale nouvelle ordalie, les reflets contre nature d'une imago exigeant de retourner à l'état d'oeuf-miroir après les avoir chassés du coquiller de leurs sables mouvants, à la vitesse d'un Boucicaut saisi par l'eau à la bouche d'un serval au garrot) les brûleries de cafés des rues et des chemins parisiens. Tu étais un vrai bosseur, toi. Pas un débosseleur de catafalques.
The Harar. Le réveil fourmille de soleil et te pétrit d'un autre limon. Si tu devais détresser la bride et revenir, jamais plus tu ne commettrais le crime d'échouer à la côte un écueil de poèmes.
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