lundi 19 octobre 2015

Frime de l'aporie autoréalisatrice

430_ Ombre à fragmentation


Ayez la pensée. Faites le geste. Et suez-en d'aise. Achetez à la louche des bons du trésor de la langue française, chaussez l'estomac gouffre surnaturel de littérature d'un Noguez, vomitique des fragments sculptés par la tératogenèse de ses pets de bouche, munissez ces fusées de chaussons de danse Kagura comme on le fait pour les petons des petites Miko, appétissantes ma foi, vierges de toute trace de malaise, c'est l'usage à Kyoto, pour amalgamer votre sublime à celui de Dominique, recueillez-les et mettez-les en bouteille ou en bocaux comme des rots de mots, puis sur la molle ottomane étendez-vous, mâchez-les jusqu'à bouillie bordelaise, fermentez, dégustez tôt, décidez-vous à laisser venir le spasme à tête de maquereau, pêchez alors l'odeur du picarel, elle vous reviendra droit au goulot, froide sirène dans le dos, rêche de saveur lâche, veste de coutil moite, devenez saisis par les gaz de sa fumée, les avez-vous avalés ? Plus tôt que ne le souhaiteriez, devant le feu de vos jeux de sarments, amis chats des déjeuners amants du mou, bientôt vous ne le saurez, oiseaux saures, que trop.

Discussion :
Mon pauvre vieux Pataud abandonné sans plus d'esprit carnivore, chien perdu sans scoliose, tu débloques à pleins tubes, Noguez a tant dit pour l'amour du football, tant fait pour Miron et ton cher Québec, et toi qui chantes sur tous les toits la gloire cinématographique des bros de mère Larrieu, êtres au cube, ne viens pas chialer ta race de cabot s'il vient te péter les couilles en mode grandiose un jour sur ton blog de misère encrivore dont aucune compagnie houillère ne voudrait pour coron. Des ronds de bouche, du genre qui mouille tous en faisons. Ne joue pas plus que tu n'es déjà les scarieux, mon bon vieux gars musicien sans violon, au ventre creux comme un rebec. Que vive l'affairisme multisémantique en littérature, qu'il se fragmente en autant de facettes à s'en faire craquer et disperser les os de l'abdomen jusqu'à son massif facial, qu'il dilue sa came en usant de chaque opportunité volée à nos habituels fesse-mathieus assis derrière les guichets de la banque des grammaires incorrectes qui dealent l'incontenu de leurs amphores, comme, à la manière de Noguez, on corrige maintenant les maigres longueurs d'ondes des barattements du beurre attachées par petits bouts à notre poignet, après avoir lié nos vies au vide atmosphérique en l'absence de pression dans l'air des romans à beaux quartiers de viande qui renvoient à la source des sédiments de leurs sangs les signaux lorsqu'ils cessent d'exister, pour chasser au loin le court-terme des réparties du fuoco di Sant'Elmo, comme l'on se souvient de l'offre du héros -- muet à sa demande, que rien jamais ne segmenta --, Plissken-san, sieur Cioran-Snake, lequel nous revint tout argent en Aredhel, figment-fracker du grand imaginaire de la Frage limnophile qui cercle d'une enceinte en carbone le coeur de récits nés pendant la nuit et soumet les routes et dessertes y menant au nivellement du lancer de grenades qui les éparpille sur autant d'autres chemins vers d'autres itinéraires et leur résolution d'artères de salars ou de lacs, encore plus stagnants, encrées par le captage d'un puits de quelque flux liquide depuis longtemps détaché des vieux étangs d'Eaubonne dans les roulements de morceaux de coraux jadis précieux aujourd'hui le visage écrasé de poudre de rides grasses à lubrifier dans un tonnerre de suies la queue du train long des réponses, serpent éludeur de la disparition du jet d'écriture défragmenté imperméable aux solutions et sur le dos duquel les maîtres des nouvelles légendes rêvent depuis toujours de faire jaillir leur royal solvant de continuité.   

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire