samedi 3 octobre 2015

Encore un peu de gaz d'Austrie

424_ The sweet cavewoman Ulyssée
To the Fejtöphile
Sel saturé de sutures le Parc à huîtres de l'Autriche-Hongrie rouvrait les portes de sa blessure, ses Circé devenues hommes au ciel de béance, ses Ulysses des femmes nourrissant de leur sang morné les antiques carences, genres sortant vif argent de la trans-mort, partaient à la recherche des ultrasons de l'ancienne mélopée. La divine soudure de la chute des reins d'Ulyssée, messe de résonance sublime, captait les vibrations de vieilles morsures émises jusqu'à la butée des canaux intérieurs d'incompressibles crocs. Les lettres des religieux portugais désensablaient les tatouages par-delà les digues des pores humains, le Japon se découvrait encore tel un Nihon d'Étrurie aux tremblements sépulcraux. Le pavillon fessier d'Ulyssée, lorsqu'il s'y essayait, ressentait tous les feux de fables fluorées dans les bombes, cendres et lapilli, des gabbros plutoniques enfouis dans les catacombes du passé. Les orteils de l'héroïne, absolument invisibles dans la marche retour de la glorieuse anamnèse, coulaient comme des brillants depuis les aragonites de sa coquille, en arpions d'Arménie sacrifiée par une cruelle et nouvelle orientale Èphèse, conques en fusion coagulées vives sur les lobes striés d'une lame rouge comme le métal, ses oreilles redevenaient branchies nacrées d'un souffle au parfum de vanille, scarifié le glauque repolissait pers le cristal, le pas réceptif de la pale fessue embrassait l'air de la douce rousseur d'un décimètre lecteur de mesures inconnues, l'hongre aux creux intimes de ses veines devinait mâles flammes, les châtrées du sang systolique se voyaient Flamel, les actrices de la Fenice quittaient les salles de flanelle, elles en eux, keine Ursache, oeufs en ailes, es wird Hell, Mondhell, lueurs d'un léger faux Wahnsinn qui flotte menace et vaticine, les acteurs remontaient vivantes depuis les entrailles et les gouffres des lits de dévorantes Lee Annabel dans des habits et panaches en dentelles de lave. Das ist Niemand ni Perséphone, l'Amadeus du bizarre PolyPriklopil tua Isaac dans son sommeil et ses grimages, Natascha s'est détachée, coupures nettes, traces de coups sur leurs inhabituels visages, gaz d'une schize s'échappant fraîche de la bouche, les robotiques Autriche tubéreuses du vingt-et-unième siècle mutaient enfin spectres poussant du pied la poussière de souche qui élevait toute seule sa progéniture sur le sol terreux de l'absence d'extases, revenant à travers valves et méats chassés par la pulsion d'un Danube qui se rêvait Meuse, Heimat enter, hors des confortables cuves de leurs vaines caves.

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