mardi 6 décembre 2011


35__Chaque nuit que fait la voussure d'étoiles, sa chatte lustrale
part caresser la matité de notre ciel de lit, du poil de son pinceau vagal.
Il faut grand coffre au
pneumo Geist ovale de la femme végétale
pour ainsi faire briller à volonté, les naines bleues
et les géantes rouges opales
qui chantent, du fond des cieux, le don de la soie de leurs cheveux, en un spiritual
de pigments nègres et bleus qui donnent des frissons naturels et preux aux sépales
du duveton de la femme huileuse en position ventrale.