les Norvégiens-Gaëls n'arrivaient pas
Les riverains féringiens de tribut danéen
des Péloponnèse du nord
toujours à Tòrshavn
Tyroliens solitaires sous les pame
Tyroliens solitaires sous les pame
dans l'ouragan du gris titan
dont le plomb cachetait l'énorme fascia du sillon bi-cyclopéen
retrouvâmes nos yeux comme ceux des chevesnes
fouillent à corps
les milieux abiotiques des âmes
à la recherche de vestiges d'amorces et restes d'appâts
dont le plomb cachetait l'énorme fascia du sillon bi-cyclopéen
retrouvâmes nos yeux comme ceux des chevesnes
fouillent à corps
les milieux abiotiques des âmes
à la recherche de vestiges d'amorces et restes d'appâts
(Kathy Small s'assit sur les longues lames du plancher -- en sitka massif, brûlé, vernis puis déshuilé à la poussière d'argile, process qui semblait avoir sévèrement blanchi la belle estrade --, mollets non croisés, plantes des pieds ventre à ventre, elle ouvrit sa serviette pour étaler ses dessins devant un fauteuil, à l'écart d'une table interminable. Il posa son sac, décalotta un carnet noir. Il se vit écrire quelques strophes.)Gravissent les gris de l’échelle du ciel à la TerreAux aubes des roues des Solon et des Achate de l’étherÀ cet orme océan se traitaient en vain les tanins des énigmesDans les mailles de la vie, à tous ses daisLes ifs de la brume de mer donnaient guets aux hommes et de l'élan au théâtre du Globe dans les collodions dispersés de sa fuyante atmosphèreLes fouets des oyats menèrent les âmes comme les Fées gorges nues qui s'excoriaient la peau sous des K-ways argentins jadis mêmement se firent devoirObserver la main d'une femme sur son châle de reine ajuster la pelisse de vair que le chat de mer et la petite roussette trouvaienttrophée délibérément injuste mais prenaient au fond d'eux-mêmes comme le chaud aveu de quelque chose de personnel venu rétribuer la fréquentation des rituels du danger à la caverneuse orbeOuïr le nom de Lady Achren drainer les ombres que le château de Lews vêtaitÀ un jet de la chute que l'ange avaitTue.Ô, entre le sable tête rouge de Barra et les caresses tétras de Lewis, sise au foyer de la suie des épines,Aux envers des truites qui ventres tendaient,Burinant les lacs de leurs arêtes collées raides aux filets des frettes,Comme pain sans levain que mandibules suçaient,la brume grise soufflait des bulles azymes de sèveQui l'ost des arbres grecs, pictes et celtes réveillait.Gare aux chênes drilles, soldats de la chête vraie,Qui pattaient à leurs branches le chaud duvetDu loir et les chiliades de sapinières à poils de laineJouant les requins renards avoués du sommeil en apnéedans les yeux grande amande de l'Algonquin dont l'haleinesentait encore l’air moussu des sols du Maineblotti dans la fourrure du sel d'Arcadierépandu jusqu'aux Îles flottées de Queen CharlotteSi prodigues en jetsam d'osselets déposés par la grande rive du Japon que les Haidas en rebâtissent le squelette de la langue d'une simple pression sur la moelle ressortie par la flasque et pélagisque glottelarge comme un épicéa de France à la Terre-AdélieSi juste et probe dans l’empreinte du cielque chaque Cad Goddeu des guenilles de son totem le dévêtDévêtue telle la poitrine enchantée des asiles à la grisonneure de ShiantSeins rupestres Paps morauxQue mon absence de jouissance demeure !Le fleuve de houx teintait à l'aspiration la bruine du tan de ses enzymesMauve lige qui lignage défendaitLes signes d'achées et tous les vers de terreOgham de Robert Graves le bona fide alphabetMoire amidon lustre des châtaigneraiesÀ l’autel des loups assis sur le mystère de l’arbuste des seins de l'invisible océan accosté sur la Terre qui savaitQui savait si bien cosserDes embruns les écorcesQue faisions-nous dans cette grivelle Calédoniedu Peak-oil, dans les ions d'un brouillard de dentinedont les aiguilles cristallinesnous pénétraient comme la détente (il notait cela, aperçut Kathy en train de se déshabiller) des crocs montés envers et contre les andouillers et bois d'un morse à l'équipée saillante
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