jeudi 11 février 2016

Vidaliens jusqu'à ce que la mort périspomène nous sépare les derniers

462_ Nitpicking the geographical accents of the French language clean

Se souvenir des menus plaisirs nus des nymphéas nés d'hier, donne l'envie de noyer les effes pour ne pas avoir à décrire comme geografi la géologie danoise des textes qui veulent avoir quelque chose de nourri au royaume du graphe d'aujourd'hui.
~ Tilde's death do us part handakuten  ゚ 
Recyclage mitré librement viré des aires murides,
ā, ē, ī, ō, ū, voyelles macrons que les vers luisants généralement boulangers similisent et mâchonnent en cocons studieux avant de les rendre visqueuses et les rouler dans les erres du nouveau gluten.
Voici que s'annoncent les guerres des farines de cantharides.
Révolte frumentaire, rasage gratis des chapeaux de Turgot,
violence de l'arrachage des petits ronds, maru-maru de taffetas, noire nacre de burgau.
Voilà que l'on, par ordre d'
Аксентий, taxe puis dépèce, après comptage, les complexes des accents circonflexes comme les mouches du dix-huitième siècle sur le nez et la bouche des quatre-vingt-dix-neuf ou cent maîtresses de Jean Étienne Bernard Clugny de Nuits.
Qui n'a pas vécu dans les hauteurs voisines des collines chapelières de l'orthographe antérieure à l'année 1990, ne sait pas ce que c'est que le plaisir de les géographier. (P. V. de L. B.)

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