lundi 29 décembre 2014

Das Fleish der Götterdämmerungen

363__"Les Chairs du Touchant", où la littérature à l'est du Potomac, à boues portantes, prend la forme d'une île de Nantes, un genre de beau lieu aimé des Blockhaus comme des Andromaque. Le nord d'Angers, sur le paléosol islandais, jamais on ne le vautra, Dino préfèra donc rester sole sous le seul oeil de la Fortezza, sinon à quoi cela servit-il que Drogo se décarcassât à siester dans les Sargasses de l'avant-mort - rêvant, les doigts sur le boulier, à la rente des accomptes de sa toute puissante solde -, jusqu'à épuisement des ombres, au seuil du solier de son solement ? Et l'on toucha d'un coup aux frontières de la limite de la culture des poiriers lorsqu'un officier du cadastre s'avisa de publier les bancs des directives qualifiant le calibre des produits des arbres fruitiers plantés dans les serres frigides des terres jaunes de l'Ankou. Alors, au jusant des estrans gros de la poussière d'ailes de papillons, comme jadis les Mongols rois-faunes de la nuit dont la caresse jamais ne se couche conclurent dans l'enceinte du château d'Har-Goal la guerre du dire et du faire, Tartares et Namnètes signèrent traité de paire où n'apparut aucun nombre ni prion et se turent, à l'estomac, de Bastiani mentions, mouvements et brûlures des vibrions, dans l'ulcère d'un silence de chiures de mouches ligures.