mercredi 5 novembre 2014

Corps des romans de Soler Jordi dans les solvants amers de Salvayre Lydie

La Fiesta Del Orso
(Photographie de la couverture Uberperso)


352_ Le retable à pétales de romans de Jordi Soler me semble allègrement visité la nuit par plus d’une aveugle abeille, homme ou femme fatals, ouvrières françaises aux ruses ourdies, déjà depuis quelque temps, hors veille Google. 
Sa Fiesta del Orso pythique dut parler beaucoup à la muse de la señora Salvayre pendant son sommeil, ainsi que Diles que son Cadàveres sonner le réveil du señor Deville (qui écrivit Viva lui aussi retour de Mexique, Lowry et Trostki remplaçants pour la forme solaire plus que pour le fond polaire l’Artaud feu de Vesta de Soler le maudit, pire qu'un Dessalines en Haïti, un Nerval au bal de Loisy, une valse de Sylvie et de Gala à Cadaquès.) 
Ce n’est qu’une impression, mais comme toutes les impressions transporte-t-elle peut-être quelques armes clandestines, démilitarisées ou rouillées (les préférées de Staline), avec elle, comme en '37 et '38, années de la terra queimada de toutes les factions. Estafettes de l'honneur en fuite.
Les hauts cimiers sous la thune balancent leurs plumes, les avocettes blanches et noires pleurent à la brune, et les éditeurs empaillent les écrivains comme les chevaliers culblancs gobent les exocets, sur l'aile de l'enclume des jours. Jus d'agrumes de semen et d'ovaires sur les petits fours, multiplication des exemplaires "pour le plaisir de venir en aide à la République des libraires", eyaculaciòn littéraire. 
Brigade internationale des serveurs au Drouant des festins.
Halys en Lydie se jette en pleurs au Pont-Euxin. 
Tout est bien solvant qui vernit bien.