112__Gérard Manset entretien interview radio Asie amoureux trans-îles film speed remplis des bons ASA 100 200 400 800 1600 du bonheur, rasas des visages des vivants simplicité du mec dans ce qu'il exprime aimer vraiment dans l'heurt de la douceur de l'heure -- irrite les gens par certaine préciosité qu'il n'a pas là ce matin sur le devant (rêve sur tas d'immondice de plastique je poursuis la poussière du moindre détail avec mon objectif de 50mm propice) ses prises de chambres camera obscura qu'il remet ensuite à l'endroit clarté aube de terre le vent solaire brusque le chartiste du moment présent affûté en lui quand d'autres caressent le petit Cartier Bresson qui sommeille comme un port de focale en eux fumiste étriqué petit feston des instants, j'ai rarement "say" ni voix au chapitre île, retiré exceptionnel du monastère de solovetski Солове́цкие острова́ je sors de ma crevasse d'avakoum à raskolniki abîme venir à la Maison de la radio des poumons (vieux croyants) crevant d'ennui(s) les humains Thaïs ne s'ennuient plus mon Baudelaire portatif n'est pas déprimé je ne me taille jamais, que lorsque ça devient bizarre dans la maison.
patriarche (on dirait) --> Nikon [jeu de mots sur] onde animale du monde animé on est mal aimanté à l'améthyste de l'être aimé. je reviens plus tard, je suis sur les chemins, impossibilité de faire un post qui tienne demain sur ses jambes simples notations à plus peut-être, je marche sur l'infini de la route bleue, l'arche des sourires de rencontre...mais j'ai aimé entendre sa voix, son éloge du quick coquille de noix sur l'onde, et le vif du monde pas de rock français pas de vérité dans la vocalité, les sonorités les Tindersticks oui, laissons cela à -ici Londres. anti-Salgado belles et fortes paroles sans dédain ni mépris sur les bobos parisiens qui punaisent en posters la misère du monde du Styx dans leur salon sur leurs sapins ou leurs chiottos ou leurs musées...
il vaut mieux parfois que les grands auteurs se taisent...
(ça j'adorerais développer)
un album peut-être mais c'est du travail et j'en suis fort aise
penser à Murat qui a préféré laisser s'échapper son lièvre secret montrer l'intime neige à l'infinie respiration infime transpiration au-devant de ses traces, his gauge...
dans l'expression de quelle essence du bien ?
pour quel but hors le propre sien ?
prix du carburant des sens.
l'empyrée démentiel des ciels de Manset, au sol
avant la renaissance d'un envol.
décolle.
patriarche (on dirait) --> Nikon [jeu de mots sur] onde animale du monde animé on est mal aimanté à l'améthyste de l'être aimé. je reviens plus tard, je suis sur les chemins, impossibilité de faire un post qui tienne demain sur ses jambes simples notations à plus peut-être, je marche sur l'infini de la route bleue, l'arche des sourires de rencontre...mais j'ai aimé entendre sa voix, son éloge du quick coquille de noix sur l'onde, et le vif du monde pas de rock français pas de vérité dans la vocalité, les sonorités les Tindersticks oui, laissons cela à -ici Londres. anti-Salgado belles et fortes paroles sans dédain ni mépris sur les bobos parisiens qui punaisent en posters la misère du monde du Styx dans leur salon sur leurs sapins ou leurs chiottos ou leurs musées...
il vaut mieux parfois que les grands auteurs se taisent...
(ça j'adorerais développer)
un album peut-être mais c'est du travail et j'en suis fort aise
penser à Murat qui a préféré laisser s'échapper son lièvre secret montrer l'intime neige à l'infinie respiration infime transpiration au-devant de ses traces, his gauge...
dans l'expression de quelle essence du bien ?
pour quel but hors le propre sien ?
prix du carburant des sens.
l'empyrée démentiel des ciels de Manset, au sol
avant la renaissance d'un envol.
décolle.
