马__j'étais le cheval Mou d'un peintre Tch'an, et n'avais pas peur de la racine Ma, cachée sous mes sabots d'âne. Dans son habit de mousse, elle livrait soudain sa nature, étalée nue dans les hautes herbes rousses de l'effroi, prête, en faisant l'ange, à massicoter, au tranchant d'une pointe de hure, l'attache fine de la page d'une phalange. Serrant plus fort le mal-mors noir, en bois de noyer, pour ne pas glisser vers la fange dans la cavalcade étude du chinois aboyé, ce maître fou d'allure, qui ne lui mâchait pas la frousse, lorsqu'il indiquait du doigt l'angle du décret-loi de la lettre-clef, à l'oxer du son de sa voix, Mou donnait de soi.
samedi 26 novembre 2011
马__j'étais le cheval Mou d'un peintre Tch'an, et n'avais pas peur de la racine Ma, cachée sous mes sabots d'âne. Dans son habit de mousse, elle livrait soudain sa nature, étalée nue dans les hautes herbes rousses de l'effroi, prête, en faisant l'ange, à massicoter, au tranchant d'une pointe de hure, l'attache fine de la page d'une phalange. Serrant plus fort le mal-mors noir, en bois de noyer, pour ne pas glisser vers la fange dans la cavalcade étude du chinois aboyé, ce maître fou d'allure, qui ne lui mâchait pas la frousse, lorsqu'il indiquait du doigt l'angle du décret-loi de la lettre-clef, à l'oxer du son de sa voix, Mou donnait de soi.