dimanche 30 octobre 2011


9__Adam Thorpe livre sa version de Madame Bovary en langue anglaise.
« The Bovary », ferait un nom de groupe de rock ou d’électro très liquide.
C’est peut-être bien déjà pris, il faudrait demander au géant musicien Noel Gallagher, cette feuille de Beatle trifide.
« Adam Thorpe and the Bovarysts », grouper, grampus, altius.
The fishier, the fishiest.
There's something flauberteeing in the waters of the Bay of the Seine.
Un groupuscule de futuristes russes troquent la petite friture de leur told-wave pour le gros oeuvre-poisson de Flaubert, le Jonas de la Toucques.
C’est boue d'argile qui sera sortie de la côte du roman adamique de Flaubert, tout une flopée de belles petites Eves d'îles, des traductions, des scénarios, des films, des récits, des nouvelles, des romans en spin-off, la tramée d'une argyronète agile.
Tout un beau vérisme qui, hommage direct à Verga, se sera complu littéralement à s’aboucher littérairement à l’oeuvre emblématique de Madame.
Dans le plus pur ideale dell’ostrica .
Les huîtres normandes ont connu des progrès gustatifs fulgurants, progestatifs stupéfiants de la grâce au fil du temps.
Merci Gustavo, thank you e grazie mille.
Ce revival bivalve fut de belle valence, ses objets patients eurent belle actance, et brilla au soleil sa laitance.