samedi 9 février 2013

197__Quand le soleil brille
Dans ses cheveux roux,
L’génie d’la Bastille
Lui fait les yeux doux,
Et quand à s’promène,
Du bout d’l’Arsenal
Tout l’quartier s’amène
Au coin du Canal.

Je ne sais si un Flaubert nature croisa jamais du r’gard Nini peau d’chien mais en tout cas avec ses deux hommes qui parurent, il inventait par une anticipation qui fulgure, Laurel et Hardy, maquillés en proto-titis parisiens, deux génies techniciens de la parousie du comique par aporie, dans la pure illusion d’une uchronie qui sans parjurer perdure, dont les pavés de la temporalité avaient un peu fondu dans la lourde atmosphère de chaleur qui s’était abattue sur l’été lutécien comme un mirage piloté par un aviateur de l'écriture depuis la constellation du chien. Flaubert savait déjà avant quiconque transpercer le mur du chaud de la description de la fameuse conque des sons des dog days américains.