samedi 24 mars 2012

90__Petit exorde au mari, amateur de beaux breasts et de sassy seins, de la petite fille de la rue La Boétie du passé qui habitait au vingt-et-un...

Au printemps, les parisiennes dénudent, à leur torso, le buste de leurs Brüste, détachent l'étreinte aux gros doigts, devenue superflue, de la trame sessile, à la végétale texture, de leurs justaucorps au grand tirant d'air, corsages, t-shirts, au sirop d'épiderme cotonphage, et  brassières en licra de fils d'or, un petit peu plus que l'habitus, jusqu'à la touffeur de leur boisseau, enivrante route à l'échancré vertige de fourure de platypus, puits intime de rousseur. Elles arc-boutent à leur dos, d'un sage petit pas du soleil sur l'eau, l'onde vibrante d'un rond volume de chair, s'en vont montrer le pli magnifique de leur captivante lumière, qui n'a rien de poitrinaire, tout au long de la rue de la Gaîté, en belles lassies du lac aux beaux ésoces, en servitude volontaire de mammaire poésie, chaste discours de la peau noisette, fine brume de l'hazel hazy fusant sur le velours d'une paume par le désir gantée, en l'honneur d'Etienne de La Boétie, dans l'auguste saison en envers de l'hiver, et offrir en halo ou en hostie, par-delà le bien et le thal du don de la péninsulaire sortie de l'os en mamelon, cette côte d'Adam vue depuis le côté des Eve germantes près du Guermantes de leur doux principe, féminin sacerdoce, la vision  de leur seins clairs, aux hommes, soudain rendus ânes luscious au coeur battu par cet éclair, à foudroyer vingt-et-un frères théatins d'un seul regard, de leur part involontaire.