73__C'est un refrain mort, aux hommes, et à leur soeur la vie.
Enroulé dans une couverture de survie, son corps repose sur le fond plat d'une barque sans rame qui dort vers une morne écluse de la Marne molle à la salive de nougat.
Les planches à soupirs d'Audubon, mélodies de plumes obscures et trépassées, sont un don des vents contraires qui carènent en Zéphirs, l'onde du toucher de l'oubli.
Elles viennent prendre livraison du petit colis recouvert d'un vent de drap.
Alors que se penche sur le visage du refrain l'extrait d'un son, éther de note d'un cor strident lui séchant les larmes à la colle de poisson, l'action d'un fantôme de piston, c'est le hautbois de Tanita Tikaram qui, dans la passe, fend la froide glu de l'eau, et ouvre à peine le chemin du pavillon céleste des airs libres au déglaçage de son âme en thrène.
Enroulé dans une couverture de survie, son corps repose sur le fond plat d'une barque sans rame qui dort vers une morne écluse de la Marne molle à la salive de nougat.
Les planches à soupirs d'Audubon, mélodies de plumes obscures et trépassées, sont un don des vents contraires qui carènent en Zéphirs, l'onde du toucher de l'oubli.
Elles viennent prendre livraison du petit colis recouvert d'un vent de drap.
Alors que se penche sur le visage du refrain l'extrait d'un son, éther de note d'un cor strident lui séchant les larmes à la colle de poisson, l'action d'un fantôme de piston, c'est le hautbois de Tanita Tikaram qui, dans la passe, fend la froide glu de l'eau, et ouvre à peine le chemin du pavillon céleste des airs libres au déglaçage de son âme en thrène.