mardi 8 novembre 2011

16__Depuis un mois, je n'envoyais plus l'adverbe "cependant", dont je trouvais, de tout temps, l'emploi très ouvrier dans son jus bourgeois. Je me servais volontiers de "cebandant", comme remplaçant.
Ne demandez pas la raison de ce bas aloi, ce n'est que vulgaire et navrant accident de banquise, un sémantique débord de devise du moi des mots, la dérive d'une langue au courant descendant. De la faulse monnoie.